fragrance
CHANCE EAU SPLENDIDE de CHANEL

Chez CHANEL, la chance n’est jamais un accident. Elle est le fruit d’une rencontre, d’un rendez-vous provoqué. Elle surgit, vivace, dans le sillage de Gabrielle Chanel, qui affirmait que « la chance était son âme ». Elle se cultive, se cherche, se provoque ; la chance sourit à ceux qui savent la saisir. Nous devons la première mouture de CHANCE à Jacques Polge, le créateur des parfums CHANEL de 1978 à 2014. Depuis, trois interprétations du parfum ont vu le jour, associées à trois couleurs :
CHANCE EAU FRAÎCHE – verte, CHANCE EAU TENDRE – rose, CHANCE EAU VIVE – orange.
Aujourd’hui, elle écrit un nouveau chapitre de cette saga olfactive avec CHANCE EAU SPLENDIDE, une création inédite, éclatante, colorée d’un violet, incarnée par une artiste qui ne doit rien au hasard…
« À l’origine de CHANCE, il y avait une idée, un état d’esprit que nous avons décliné de façons très différentes. Chaque parfum CHANCE est unique, mais tous expriment ce même état d’esprit. Il n’y a pas de partition commune mais il y a quelque chose de l’ordre du sentiment, de l’émotion que chacun de ces parfums exprime. Quelque chose de très vivant et de très direct. »
Olivier Polge,
Parfumeur-créateur des parfums CHANEL
Ce nouveau parfum est une déclaration de contraste et de finesse. Entre pétillance et mystère, CHANCE EAU SPLENDIDE révèle un accord de framboise, mêlé à des notes de fruits, de rose et de violette. Souligné par un cœur floral composé, entre autres, de géranium rosat de Grasse, cette terre d’exception chère à CHANEL. En fond, une touche d’iris poudrée, des muscs blancs et un cèdre délicat viennent poser la durée, la tenue, l’élégance.

CHANEL N°5, L’ICONIQUE
En 1921 naît le premier parfum de Gabrielle Chanel. Comme toutes les créations mémorables de Coco Chanel, le N°5 rompt avec les codes de son temps. Dans les années 20, les senteurs sont toutes dotées d’une unique dominante florale. Déterminée, audacieuse et très féminine, l’empreinte du N°5 est le reflet de la personnalité de Gabrielle Chanel. A cette époque,
Ernest Beaux est alors considéré comme le plus grand parfumeur de son temps. Exilé russe, il fut le parfumeur officiel du Tsar. Lors d’une rencontre à Grasse sur la Côte d’Azur, Coco Chanel lui demande d’imaginer une composition florale, de créer « un parfum de femme à odeur de femme » en rupture avec toutes les règles olfactives. Coco Chanel veut repousser les limites de la parfumerie et créer un parfum indéfinissable.
Plusieurs fioles numérotées de 1 à 5, et de 20 à 24 sont proposées à la créatrice. Celle qui souhaite un parfum composé et abstrait à l’image d’une robe découvre une architecture olfactive sans précèdent à travers l’essai N°5 proposé par le nez. Une formule innovante associant les produits naturels les plus luxueux à des molécules de synthèse encore inexplorées à l’époque, les aldéhydes. Grâce à ce composé organique proche de l’odeur de zestes d’agrumes mélangés, il réussit à donner au parfum une fraîcheur et de la lumière ainsi qu’une ampleur exceptionnelle aux notes de tête. Cette idée révolutionnaire conjugue une structure olfactive avec un bouquet de fleurs et offre au parfum une qualité aérienne. Cette fragrance au cœur ultra floral s’allie à deux matières premières d’exception, le jasmin et la rose de mai, produits exclusivement à Grasse, capitale mondiale du parfum. Le néroli dégage une senteur fleurie et suave avec un départ hespéridé très acidulé, une facette lumineuse, fraîche, orangée presque gourmande qui ravive nos sens. Le résultat final est un parfum opulent, capiteux et résolument moderne, un bouleversement dans l’histoire de la parfumerie. Beaux a bien compris le souhait de Coco Chanel au caractère singulier, anticonformiste et instinctif. Son choix se porte ainsi sur l’échantillon N°5.

Fin.
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